L’Awen ou A.EIOU :
L’AEIOU :
Cela constitue les cinq voyelles primordiales venant des Dieux Cosmiques
“la gamme pentatonique” ou gamme à quinte pure.
Nommée aussi « gamme pythagoricienne » parles Doriens (Asie mineur) suivant leurs ancêtres Indo-Européens (vague migratoire du centre sud vers le nord puis du nord vers le centre sud) rajoutèrent 2 voyelles accentuées à ce système pour former les 7 tons de la “gamme diatonique” européenne.
L’Awen :
L’ Awen quand a lui est un mot Gallois et Breton qui correspond à l'inspiration divine du barde dans la tradition Druidique, mais dans le vocabulaire usuel breton il a aussi le sens d’inspiration, souvent artistique aussi.
Arzh bro Naoned “l’Ours de Nantes” nous donne dans son livre Énergies sacrées, Les Runes,
un tableau d'association des voyelles et des planètes.
Les traductions dans différentes langues :
« Le gallo-romain ambosta est connu dans le sens de jointée, sur une aire considérable entre le Nord de l'Italie, la Suisse romande, le Sud-Est et le Sud-Ouest de la France, et la plus grande partie de l'Espagne. […] ambosta représenterait en vieux celtique *ambi-bosta, ambi marquant la réunion des deux mains et bosta ayant le sens des mains, ou plus exactement les paumes d'après les langues celtiques contemporains (irlandais boss, bass, gaélique d'Ecosse bos, gallois bos, breton boz).
On n'avait pas signalé jusqu'ici de mot identique à ambosta dans les langues celtiques actuelles. Or ambosta explique parfaitement le terme irlandais resté énigmatique, qui apparaît dans une forme d'incantation […] imbas qui suppose *embi-bostu. La partie essentielle de l'incantation consiste, en effet, dans l'application des deux paumes sur la figure du filià dessein de l'endormir : les révélations qu'il attend doivent lui venir pendant son sommeil. Cette incantation était connue couramment sous le nom de imbas forosnai (mieux forosna), la « jointée qui illumine ». Elle fut interdite par saint Patrick. »
En Norvège, en Islande et dans le reste de la Scandinavie, ainsi que dans une partie de l’Ecosse avec les migrations Norse (Nordique) et les interactions avec les Gaéliques et les Pictes. Le terme est a mettre en lien avec la pratique du Seidr ou des Galdar. Il s’agit exactement de la même chose.
L’Astrologie Vocal :
1 Saturne-Cronos-Loki, dans son "haut siège”, la faucille à la main, fait face à un monstre marin
2 Zeus-Tyr-Odin, Odin règne sur son "haut-siège" du Valhalla l’Hlidskjalf. La constellation de la Grande Ours est appeler « Woten’s wagon » Ce vagon est tiré par les Grues Sacrées.
Ce trinêtre de dieux enseigne à leurs enfants, en la personne du fils de chacun des dieux.
3 Mars-Arès-Thor, muni de "l’épée de la Justice", sur son char de guerre…
4 Sol-Apollon-Hélios, sur son char solaire tiré par un quadrige de chevaux xanthos
5 Vénus-Freyja-Aphrodite, sur son char tiré par des cygnes, que mène le petit Cupidon/Éros…
6 Mercure/Hermès/ Odin, son Caducée/Yggdrasill à la main, sur son char tiré par des aigles-corbeaux…
7 Luna/Men/Mani en Diane/Sagittaire avec ses flèches/phases ascendantes et descendantes…
...et les symboles archaïques des astres.
Cette « échelle » est structurée par le grand Dragon / Wurm chthonien, tricéphale, qui se nourrit des 4 éléments :
Terre (et Sels), Eau, Air, Feu, sous la « domination » d’Apollon (latin)
L’étymologie Apollon langue mère européenne :
Apollon viendrait du grec "apella" qui signifie
“troupe, assemblée du peuple”
Mais, les étymologies « officielles » sont toujours excessivement “gréco-latino centristes”
de plus, elles se réfèrent souvent à une période classique, tardive eut égard à nos tradition d'Europe du nord.
Elles incorporent jusqu’au Moyen-Âge une foultitude de termes celtiques ou germaniques latinisés d’un simple suffixe “us” dans leur “latin d’église”:
Dans la vieille langue mère indo-européenne reconstituée,
nous avons la connaissance de cette racine :
Abol, apol signifie “fruit, pomme” en celtique,
c’est abal, abella
En Gallois on a Afal. En allemand c’est Apfel, en Anglais Apple, en Norvégien Eple, en Breton Aval, en Dorien on a Apellôn et, en Gaulois reconstruit on a crée Abelio. A partir de Apple et Aval.
Il y a aussi des traces dans les racines :
Apol signifiant “pôle, pieu, pal” ;
Aponie, qui aurait donné Laponie ;
Apponius “Apollon”, Nord (pays du septième arc) ;
Aba alo = Balcia (Balthia ou pays Baltes, de *Whal “cétacé”), d’où Basileia la capitale atlante de Platon ;
la Pologne ainsi que la Polonia, ou Pays des Polianes de Kiev…
Apollon divinté evoquant l'idée de rayonnement entendez par la « abalon » le pays sacré aujourd'hui appeler Avallon et aujourd hui orthographé Avalon
L’île d’Avallon “le Pays d’Apollon” :
Apollon est expressément dit “fils de Zeus” (son adepte, “initié” au culte du Dieu du Jour Diew (–> Théo, Zeus) et de Léto (l’oubliée), l’Atlantide boréenne des Grecs?
En tout cas, son pays est l’Île des Pommes, fruits de Sagesse des Pommiers des Hespérides situé ”au couchant” (grec hesper, vespe)
Tout cela forme quelques pistes mais rien n’est certain
Une autre source nous dit :
C’était au premier âge
Où il n’y avait rien
Ni sable ni mer
Ni froides vagues;
De terre point n’y avait
Ni de ciel élevé
Béant était le vide
Et d’herbe nulle part.1
Ár var alda
það er ekki var,
vara sandur né sær
né svalar unnir;
jörð fannst æva
né upphiminn,
gap var ginnunga
en gras hvergi.
Tel est le commencement des temps qui nous est présenté dans la Völuspa Le néant originel,Ginnungagap (le gouffre géant) est bordé au nord par Niflheim, monde du froid et de la glace, du brouillard et de l’obscurité, au sud par Muspelheim, domaine du feu et des flammes, de la chaleur et de la lumière.
Au centre de Niflheim se trouve une source, Hvergelmir, d’où jaillissent onze rivières empoisonnées, les Elivagar .Loin de leur source, ces rivières gelèrent, et du givre apparut. Petit à petit, il gagna Ginnungagap. En même temps, un souffle d’air chaud venait de Muspellheim. Cette chaleur fit fondre le givre, et des gouttes se formèrent, donnant naissance au premier être, un géant du nom d'Ymir.
De la rencontre de la chaleur et du froid naquit également la vache Audhumla. De ses pis jaillissaient quatre rivières de lait, qui nourrirent Ymir.
Mais Audhumla ne joue pas seulement le rôle de « nourrice » d’Ymir. En effet, pour se nourrir, elle se mit à lécher les blocs de givre. Ce faisant, elle fit apparaître une chevelure le premier jour, une tête le deuxième jour, et, au troisième jour, ce fut un être tout entier, Buri qui se libéra des glaces.
Quant à Ymir, il engendre durant son sommeil deux « enfants ». Dans le même temps, l’un de ses pieds engendra avec l’autre pied un fils, Thrudgelmir, un géant à six têtes.
Buri eut, dans des conditions que l’on ignore, un fils nommé Borr. Les géants aussi se reproduisirent. En particulier, l’un d’eux,Bolthorn, eut une fille portant le nom de Bestla.
Borr et Bestla engendrèrent les premiers dieux : Odin Vili et Vé.
Nous pouvons voir dans cette histoire la création d’une contré, par réelle mais du moins imaginaire qui peut prendre la forme d’une île avec la notion de borr, boréale. Mais il est quand même fort peut probable que les Grecs aient connue cette histoire.
Source:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cosmogonie_nordiqueEnsuite pour en revenir a notre gamme pentatonique
la Loi de Cinq, ou Loi des Maîtres-Sons majeurs,
permet de dessiner un zodiaque sonore qui sera seulement significatif lorsqu’on aura fait intervenir les harmoniques supérieurs dans le parcours ascendant du soleil et les harmoniques inférieurs (les partiels) dans son parcours descendant, et qu’on utilisera un support de soutien positif (dièse) dans le premier sens et négatif (bémol) dans le second sens.
Il s’agit d’établir le passage du plan E–O (équinoxial) correspondant, à une note comprimée, alors que les “angles” nord et sud du ciel correspondent à une note étalée.
Ce passage est également caractérisé par une interruption calculée du chant, car c’est « l’accouchement et l’enterrement du soleil qui sont les porte du chant destiné aux puissances cosmiques. »
(R. Montaigu, revue La Voie Solaire, l’Air.)
Il est intéressant de voir que le « vav » hébraïque se prononce « ou »…
Ce qui implique la prononciation éventuelle du tetragramme YHVH en « yeou » ou « yaou »
L'AEIOU: C'est le pendant du mantra indou AUM et permet de rappeler que la vocalisation “magique” la mise en auto-condition pratiquée dans le Nord européen sous son nom nordique de galdr.
L'awen ou l’inspiration :
prononcer A.OU. WAINE
faisant penser à un “amen ” paganisé à permis à certains druides de subsister et de diffuser discrètement des bribes de leur enseignement dans le cadre de la “nouvelle foi”. C'est en réalité bien plus ancien. C'est la transe et l'extase magique et sacré du druide, en Gaélique Imbas Forosnai, en Gaulois Ambosta et en Norrois Seidr.
Awen (mot gallois & breton) correspond à l'inspiration divine du barde dans la tradition druidique.
Quelqu'un d'inspiré, un poète, aussi appelé « awenydd ».
il évoque la connexion ou le lien avec le divin.
C'est comparable à « l'Esprit Saint » quelque chose d'invisible - divinisée.
On trouve aujourd'hui dans le druidisme l'appel de l'Awen trois fois à haute voix, pour l'invoquer.
Dans son utilisation actuelle en gallois, Awen est parfois utilisé pour décrire un poète ou un musicien.
Et c'est sans conteste dans l’écriture cryptée druidique appelée “ogham”, établis a l'epoque preschrétienne et rentrascrit a l'écrit dans les monastères, les runes sont aussi important et en lien avec les Bardes initié 'Thrule' ou 'Erules' ou encore les Skaldes Nordiques, le travail des runes permet de comprendre le sens cacher des choses dans la nature elles forment comme les ogham un langage initiatique des bardes conteurs et poètes gardien des mémoires, les Runes et les Ogham, sont appelé "langage des oiseaux" , qu'a pu subsister jusqu'à nous ces glyphes coder secrètement et transmis de maître a initié.
Les lettres conventionnelles sont représentées par des bâtonnets disposés contre ou sur une ligne
A l'instar des médecines asiatique et autres, ou chaque partie du corps est en lien avec un organe, un heure planétaire, un astre, un constellation, une couleur, un métal, une note, un élément, une roue de vie (chakras)
notre Aeiou, les runes con-stellaires et plus tard les oghams, remplissent exactement les mêmes fonctions !!
c'est notre medecine hermétique, sacré, énergétique transmise depuis des millénaire, tombé en désuétude grâce à la nouvelle fois, puis totalement oublié grâce aux medecines scientifique.
L 'AEIOU est un système socle, de compréhension des corps subtils appeler Krwi (prononcer krwoui) chez les celtes, ou Önd en Norrois soit l’énergie vitale nourrissant nos organes et assure nos fonctions physiologiques ainsi que l’équilibre de nos émotions et qui par état de fait, induis nos comportements.
Vocaliser ces voyelles sacré permet de re harmoniser et ou de s'harmoniser avec le cycle cosmique.
Cette médecine celto sacré, aujourd' hui oublié au profits des médecine d'ailleurs, a donné lieu à divers systèmes de soins médicaux, chez les européens avant le christianisme.
Les lettres conventionnelles sont représentées par des bâtonnets disposés contre ou sur une ligne :
à gauche, 1=b, 2=l, 3=v, 4=s, 5=n ; à gauche, h d t c q ; en oblique, m g ng z r ; et les 5 voyelles a o u e i sont à cheval sur la ligne.
A l'instar des médecines asiatique et autres, ou chaque partie du corps est en lien avec un organe, un heure planétaire, un astre, un constellation, une couleur, un metal, une note, un élément, une roue de vie (chakras)
Pour notre Aeiou, les runes présentes dans les constelation et plus tard les oghams, remplissent exactement les mêmes fonctions !!
c'est notre médecine hermétique, sacré, énergétique transmise depuis des millénaire, tombé en désuétude grâce à la nouvelle fois, puis totalement oublié grâce aux médecines scientifique.
Par les Galdar (chants runiques), les Stödhur et Handstödhur (les gestes runiques avec le corps et les mains) comme un Yoga runique, l'extase ou la magie du barde peut être extériorisé de façon très créative. Il y avait la même chose avec les doigt et leur représentation dans l'alphabet des ogham, ce qui est assez proche des handstödhur, ce qui constitue alors une forme de signe qui peut être utiliser pour communiquer, ou entrer en relation avec l'environnement.
L 'AEIOU est un système socle, de compréhension des corps subtils appeler Krwi (prononcer krwoui) chez les celtes,
l’énergie vitale nourrissant nos organes et assure nos fonctions physiologiques ainsi que l’équilibre de nos émotions et qui par état de fait, induis nos comportements.
Vocaliser ces voyelles sacré permet de reharmoniser et ou de s'harmoniser avec le cycle cosmique.
Cette médecine celto-nordique sacré, aujourd' hui oublié au profits des médecine d'ailleurs, a donné lieu à divers systèmes de soins médicaux, chez les européens avant le christianisme.
Pour comprendre cette médecine il conviens d'avoir d’excellente notion astral de notre hemisphere ;
puis de pratiquer la roue medicin celte, avec les 4 elements, puis les autres, les 4 directions puis les autres, les 4 ages de la vies, puis les autres, les corps subtils... tout ceci en relation direct (le haut est comme le bas macrocosme microcosme) avec la dynamique respiratoire de la terre pour le choix des plantes, et la compréhension des courant cosmo tellurique par reduction microcosmique, celui des organes vitaux de nos corps physiques.
Le druide maîtrisait parfaitement les énergies circulant dans et autours de nos corps, savait où poser leurs mains pour avoir une action tangible sur ces forces.
La médecine et la magie druidiques utilisaient entre autre les arbres.
Récepteur et transmetteur des énergies cosmiques et telluriques, ils possèdent eux-aussi le pouvoir de guérir par la connaissance de ces forces liés a celle des usages et vertus médicinale des plantes. Tout cela fut alors la base de la médecine.
Les druides connaissaient la puissance du message porté par les arbres.
Ils ont des bosquets sacrés, németons, (des églises naturelles en forêt) ou des Tiez-neveden (sanctuaires sacrés du foyer) dans lesquelles ils atteignent les plus hauts degrés de leur initiation.
La symbolique de l’arbre est très présente et est commune à de nombreuses traditions.
L’arbre de vie est un concept de base.
Dans l’optique des rituelles chamanique celte, les arbres soutiennent le monde.
A lui seul, l’arbre représente les quatre éléments de l’alchimie, donc de la vie :
eau, air, terre, feu et même bois et ainsi de suite
Il est « l’axis mundi » l’axe du monde qui relie le ciel à la terre.
Les principales essences de bois utilisées en médecine druidique sont : le bouleau, le chêne, le pommier, le frêne dont on utilise le jus des feuilles contre les morsures de serpents, l’aulne utilisé pour les ulcères, le saule qui était utilisé comme antiseptique, l’aubépine qui calmait les émotifs et les anxieux, le noisetier ou coudrier qui, comme le frêne, éloigne les serpents, le sureau pour la digestion, la cicatrisation.
Sources:
Christian Mandon sur son PDF
http://racines.traditions.free.fr/aeiou/aeiou.pdfLes livres sur la civilisation Celtique et l'histoire :
-« La civilisation Celtique » par Françoise Le Roux et Christian-J Guyonvarc'h
-« Le Message des Celtes » Par Yvan Brékilien.
-« Le Druidisme » Par Jean Markale
Les livres sur la religion celtique et la philosophie Druidique :
-« Les Druides, Les sociétés Initiatique Celtique Contemporaines » Par Michel Raoult
-«Science et Philosophie des Druides » Par Paul Bouchet
-« Le livre des Morts Celte et Gaulois » Par René et Claudine Bouchet
-« Les étoiles fixes dans la tradition Celtique » Par René Bouchet
-« La religion des Celtes » Par Jan De Vries
-« Les Traditions Celtiques, Doctrine initiatique de l'Occident » Par Robert Ambelain.
-« An Triadoù, Triads of Bardism, Les Triades » Par Iolo Morganwg.
Et sur le site de Carnac :
-« Carnac le sens caché des alignements » Par Howard Crowhurst.