Un Conte de Fée pour Beltaine : le voyageur de richesse en Brocéliande:
La terre est la grande nourrice. Tout pousse, toute vie ce régénère et évolue. Et un jour tout retourne lors de sa mort à la terre, les choses changent, se transforment, et retournent pour être transmués et former la base de la vie future.
Les esprits féeriques de la terre, les gnomes confèrent un esprit particulier à chaque roche, à chaque cristal, ou a chaque plante, un jour dans un petit village de Bretagne une jeune fille simple d'esprit est étourdie, elle était pas méchante, mais était connue pour son étourderie et sa maladresse au village de Poullaouen ou elle vivait. Elle partie pour le village voisin de Brennilis pour le marché de la fête de Mai, par un chemin qui traversait la forêt de Brocéliande au coeur de Huelgoat.
Elle était dans l'obligation d'aller vendre quelques légumes, et des plantes comestibles, ses dernières volailles, quelques pains qu'elle avait cuit dans son fours, et des oeufs frais, un peut de lait dans une outre et des pièces de tissus, de la laine et du lin, tout ce qui lui restait de l'année passé elle avait des achats a faire au village elle aussi.
Elle partie la petite Soizig avec son char a bras. La nature était en pleine activité. Les abeilles bourdonnaient dans les champs et les oiseaux caracolaient dans les branches, les renards glapissaient dans les sous bois. Elle arriva devant l'ancienne forêt des Druides. Que d'effroi ressentit elle a cet instant avec les souvenir d''histoires qu'elle avait entendu, sur ses dangers et ses enchantements.
De Merlin a Viviane, d'Arthur aux Korrigans.
Elle pris son courage a deux mains et s'aventura sur les sentiers.
Elle marchait longuement dans la forêts, que c'était lourd et fatiguant pour une jeune femme seule de tiré et de poussé son chargement. Elle s'efforça de pousser au sommet du sentier qui montait sur un col forestier couver de sapins. Quand elle entendit une voie rocailleuse s'adresser a elle "Veut tu de l'aide? ça a l'air bien lourd pour toi?"
Elle se retourna et aperçut un vieille homme aux cheveux blancs et a la peau ratatiné. Il était envelopper dans une cape et portait des vêtements démodés depuis plusieurs centaines d'années.
Mais qui êtes vous Monsieur?
Le vieille homme vient l'aider a pousser sa marchandise au sommet de la colline. Il fut ému par la fragilité et la sincérité de la jeune fille. Il lui expliqua qu'il avait un ami qui vivait dans une ancienne longère Bretonne dans la forêt et qu'il pourrait l'hébergé pour la nuit, que le marcher du village.
Vous avez été si gentil avec moi prenez quelque chose dans mon chariot et dite moi votre nom, l'homme pris une des volailles, ici on m'appel Moualc'h. "A bientôt, Kenavo jeune fille" répondit Moualc'h.
"Merci, mon prénom a moi c'est Soizig!"" répondit elle, mais l'homme avait disparut.
Elle marcha encore et encore que la forêt était épaisse et des chênes dominaient ainsi que des êtres qui imposaient leur présence avec leurs branches immenses et l'ombre qu'ils étendaient sur des lieux a la ronde, il semblait a soizig que des rires provenaient des arbres, des feuilles ou des racines mousseuses.
Elle arriva après plusieurs heures a la maisonnette couverte d'herbage et bordée de fougère, sous un énorme sapin aux aiguilles qui sentaient fort la résine.
Des paniers remplis de connes de ce sapin et de fleurs des près étaient sur une table.
Un homme sortie de la maisonnette, vêtue de vêtement anciens et abîmés par les années. Elle lui expliqua que Moualc'h lui avait expliquer qu'elle pourrait trouver refuge ici.
L'homme l'accueillit dans son humble demeure. Il se présenta, il avait pour nom Emrys.
Il ne parlait pas beaucoup, ou seulement quelque mot de vieux breton qui n'était plus parler de nos jours. Il n'avait rien a manger pour le soir a par une maigre soupe, et un morceau de viande sécher, Soizig partie chercher des légumes dans son chariot, des légumes qu'elle destinait a la vente et avec quelque oeufs et un peut de farine et du lait, un tranchette de beurre elle fit des crêpes. L'homme était silencieux, et ils mangèrent leur repas, le lendemain il n'était pas la et il pleuvait a plein temps, pour le remercier de son hospitalité Soizig lui fit de nouveau vêtement avec le lin et la laine qu'elle avait ainsi que quelque aiguilles, du fil et du tissus qu'elle réservait au marché. Et quand il y eu une accalmie elle partie.
Elle arriva ensuite sur le chemin qui conduit aux premières pierres de la chaussée des Géants dans la forêt longent la rivière d'argent. Les enchantements de ce lieu lui rendait le voyage moins pénible.
Quand elle vit un vieille homme en mauvaise posture, il avait une charrette pleine de blé et d'orge qui se renversait et les oiseaux venait lui manger toute sa récolte... ils picoraient de si de là, chapardaient et s'envolaient en piafant dans les arbres. Qu'elle misère.
A c'est ma récolte de l'an passé, j'ai réussi a la protéger des souris cette hiver, mais la pour moi s'en est fini j'en ai bien peur.
Soizig se proposa de l'aider et de prendre sur sa charrette une partie de son chargement, se qu'elle fit et elle aidait l'homme a rentrer sa récolte, elle resta a surveiller le stock de grain le temps qu'il reviennent avec son chariot. Elle chassait les oiseaux et criaient pour les faire fuirent. Piou Piou Pioucoulioù. Elle répétait, Piou Piou Pioucoulioù ... elle se mit a chanter.
Que les arbres étaient beaux, que la rivière était douce, que son coeur était soulagé dans cette vallée pierreuse dans les brumes.
L'homme revient et la remercia il lui dit son nom ici on m'appel Lailoken. Soizig trouva qu'il avait quelque chose de familier comme si elle l'avait déjà rencontrer?
Elle arriva péniblement a travers les roches et du contourner les immenses pierres, elle continua vers la sortie de la forêt, quand elle ce rendit compte qu'elle n'avait presque plus rien a vendre au marché. Ha quel misère!! Oui elle avait donner plusieurs volailles au première homme qu'elle avait vu, elle avait cuisinée avec ses légimes, ses herbes et ses oeufs.
Le tissus elle avait fait des vêtements neufs a l'homme qui l'avait hébergé aussi... "Gast met n'eo ket fall"
Un autre homme arriva, très vieux envelopper dans un manteau bleu appuyé sur un grand bâton couvert d'inscriptions et de signes étranges.
Il se présenta a elle en la félicitant pour son altruisme, sa bonne humeur et sa gentillesse. "je suis Merlin l'enchanteurs et le roi de cette forêt" dit t'il.
Il lui expliquait alors que les autres hommes n'étaient autres que lui même sous certains de ses nombreux visage, et qu'elle avait trouver en elle la capacité d'équilibrer les intérêts collectifs au détriment des siens lui évitant de la sorte de perdre son coeur et de devenir cupide. C'est pourquoi il allait veiller sur elle est ses besoins il lui dit d'aller voir dans sa charette, qui était remplis de sac d'or, il lui dit "cet or est enchanté, il ne te permettra que d'acheter ce dont tu a le plus besoin et a minuit cette nuit ce qui n'a pas été dépenser disparaîtra pour se changer en feuilles de chêne, en brindilles, en fougères et en mousses. Soizig était stupéfaite et partie faire son marché et tout ses achats. Ensuite elle rentra chez elle rassurée elle avait fait ses provisions pour l'année. Et avait rencontrée Merlin! Personne n'allait la croire... elle n'en revenait pas elle même, les enchantements de la forêt l'avaient elle fait rêvé? Ses achats quand à eux étaient la pour lui rappeler le contraire. Non elle n'avait pas rêvé."