Le travail a faire avec les Runes avant de pratiquer le Seidr dans la spiritualité ancienne :
Dans mes écrit je parme souvent du Seidr et des apports qu’il nous apporte dans notre spiritualité, le travail soit avec les trois boucliers comme je l’ai déjà décrit ou la même chose avec les runes et l’axe du monde et de l’homme en son monde intérieur qu’est Yggdrasill le travail consiste a retourner sa propre vision de l’existance quand on travail avec les runes, tel Odin qui s’est pendu a Yggdrasill et tête en bas a inversé sa vision afin de voir le monde autrement, non plus vers l’extérieur, mais vers l’intérieur. Dans ce cadre les runes sont associer aux différents chakras , qu’on retrouve en Norrois sous le nom « Hvel » et qui en Anglais a donner ensuite « Wheel » .
Nous trouvons les Chakras ou Hvelar suivant :
1. Hvel þak ou le chakra couronne qui est associé a la rune Ansuz
2. Hvel auga ou chakra du 3ème œil qui est associé a la rune Mannaz
3. Hvel orð ou chakra de la gorge qui est associé a la rune Ehwaz
4. Hvel hjarta ou chakra du cœur qui est associé a la rune Raidho
5. Hvel sunna ou chakra du plexus solaire qui est associé a la rune Othala
6. Hvel magi ou chakra de l’abdomen qui est associé a la rune Laguz.
7. Hvel íss ou chakra du périnée qui est associé a la rune Isa
Il y a ensuite en complément deux autre Hvel avec lesquels nous devons travailler c’est :
• Hvel kjalta, le centre énergétique des genoux qui est associé a la rune Nauthiz
• Hvel fótr, le centre énergétique des Pieds qui est associé a la rune Uruz.
Le travail de l’himinn, les énergies des Dieux liers aux étoiles et constellations :
Dans ce travail « Himinn » qui signifie « ciel » en norrois est a rapprocher d’un autre mot en Norrois « muninn ». Nous devons entendre ici que dans le ciel ce trouve la mémoire, de ce qui était, de ce qui est et de ce qui serra. Ce travail ce fait de nuit en observant le ciel. Les Grecques, on la même deffinition avec le mot « Téménos » (qui a donner en Français le mot Temple) est lui a rapprocher du Breton « Neved » ou « Nemeton » (Clairière sacrée) un temple en pleine air et un lieu de paix a rapprocher du Norrois « Frithgeart » (lieu de paix). Il est question ici d’un lieu ou nous retirer, en paix pour observé le ciel et officier a nos rituels.
Les anciens y observaient les étoiles, les changements de la lunes, la position du soleil aux solstices et équinoxes et bien sur les constellations mensuelles. Le lien avec les runes et les Dieux n’est peut être pas évident, les étoiles sont lier aux Divinités Ases et Vanes mais aussi aux Divinités Greco-Romaines, ce qui prouve certainement les liens entre les Celto-Scandinaves et les Grecques et leurs racines communes Indo-Européennes ou Hyperboréene.
Le travail a faire sur soit avec ces recherches et ces assimilations des forces runiques et des Dieux, ce fait sur les plans énergétique et symbolique. Dans les mythes le côté prosaïque se mêle au symbolique dans les conceptions du sacré. Ainsi les « Ases », nos « Grands Ancêtres » qui on un lien avec Asgard, le monde du ciel, ces mots ont une raçine commune contenue dans « Astres » ou « Astrologie ». Dans ce concepte les Dieux et Déesses ne sont plus des entités propres externe a l’homme mais plutôt des forces ou des conceptes, qui sont ici repréentés par des constellations d’étoiles d’après l’auteur est spécialiste des Hyperboréens « Christian Mandon » cette Science était réservée aux mystiques, aux Goðar, aux Völur, aux Druides et aux Thuler qui sont tous les initiers du plus haut degré de compréhension de la sagesse des runes.
La mythologie nordique nous dit que les runes furent découverte par Odin et qu’il fut a ce moment là le «Fimbulthulr» (l’initié suprême) lorsqu’il s’était pendu par le pied tête en bas à l’arbre du monde Yggdrasill qui aussi son coursier suprême comme en quelque sorte une allégorie de Sleipnir son cheval a huit jambes. La travail d’Odin est très profond et devrait être réaliser par tout les initiés avant de pouvoir voyager en esprit dans la pratique du Seidr, a noté que les Femmes on une prédisposition naturel au Seidr, les hommes doivent développer leur sensibilité avec de devenir « Ergi » ou sensible.
L’on considéraient autrefois qu’il était même honteux pour un homme de le pratiquer parfaitement.
Le côté sacré de la pendaison et du renversement tête en bas d’Odin a Yggdrasill, qui a aussi pour nom Irminsul (chez les saxons) ou Minaudier « le pal de Mimir » cette figure est aussi en lien avec la plantes sacrée des druides, le gui qui pousse la tête en bas, pendu sur les branches de l’arbre sacré (le chêne). Le Thule ici est donc l’initié du nord, du gui de Thulé qui a la même étymologie. Odin s’était pendu durant neuf jours, qui symbolise la durée de gestation néssessaire a la vie sur neuf lunes. De plus au niveau de la sygnification, en Breton le Gui ce dit « Uhelvarr » (la haute branche), ce qui rappel un des noms d’Odin « Hangadróttinn » qui signifie le « Haut pendu » ou «Seigneur des pendus ». Donc une gestation intérieur, spirituel et parfaite de sa recherche et le parcours des neuf cercles ou « Heimr » (demeures) des Dieux (l’astrologie symbolique) en y étant lui-même consacré a lui-même soit en état avancer de conscience modifiée pas la transe chamanique appeler en norroi « Odh » signifiant « extase » ou « exaltation » dans le sens plus haut que soit même ou en dehors de soit, ce qui renvois au travail avec le Hamr et le voyages effectuer dans le cadre du Seidr.
Car c’est de cela qu’il sagit ici de la logique des étoiles, une vérité lumineuse, l’astrologie ou « Astro-logie » cette volonté recherché d’une mise en communion de notre coprs avec l’esprit divin contenue dans la nature et ses cycles. Cherchons donc les runes des dieux.
« On les trouves chez les Ases. On les trouves chez les Alfes. On les trouves chez les Vanes savants. Et aussi chez les Hommes. » -L’Edda Poétique :Poème de Brynnhild -
Hors les runes désignes des objets, des forces, ou des personnages du Panthéon Scandinave, elles peuvent également n’être que les représentations de conseptes abstraits et sacrés.
Elles peuvent également servir a expliquer les trois fonctions de la société des hommes, rurale ou paysanne, guerrière ou déffensive, sacerdotale ou royale. Pour nombre d’entre nous les runes restes un grand mystère et ne peuvent être pénétrer que par ceux qui en sont initié et cherche plus loin, dans le fond caché des choses, leurs sens absolus et mythique, magique, sacré, énergétique et les histoires qu’elles portent en elles, des histoires souvent chuchotter ou murmurer. Chaque rune concerve en elle une force créatrice de l’univers, chaque signe est un élément sacré de la langue usité par les dieux afin de concerver l’harmonie de l’univer et des différentes mondes d’yggdrasill qui y sont rattacher.
Selon les écrits de l’auteur Grec Evhémère des tablettes en or étaient conservées dans un sanctuaire situé sur une île dans la Mer du Nord, sur ces tablettes était contée l’histoire des rois. Et dans une autre source celle de l’Edda, les « Dites de la Völva » un texte très mystérieux ou la voyante nous affirme que ces tablettes réapparaîtrons après le Ragnarök.
Source:
"Les origines de l'arbre de Mai" par Christian Mandon.
" B.A-BA Tradition Nordique tome 1 et 2" par Arnaud d'Apremont et Anne Laure d'Apremont.
"Enseignements d'un initié en Terre Celtes" par Selim Aissel.
"Les mystères des Celtes" par Stefano Mayorca.
"La nourriture des Dieux" par Jasmhheen.