Un conte du Printemps: La fête de l'île de Mann:
L'irlande était verte et en ce temps la les hommes comprenaient encore le langage des oiseaux, les dieux voyageaient encore sur la terre pour visité les hommes. Le dieu Dagda avait plusieurs fils Ogma, Angus MacOg et Mananann MacLyr. Autant les autres dieux des Tuatha des Danann parcouraient souvent le vaste monde, pour aller voir les hommes de l'écosse a la bretagne et partout ou les hommes prospéraient.
Mananann quand a lui était un dieu très timide et il se montrait que très rarement, il aimai plutôt la compagnie des animaux et des animaux marin, il adorait la mer, les rivages et les esprits des eaux. On fini même chez les druides par le nommé "Fils des Océan" Mananann fini même par tenir sa propre cour composé de Sidhe et de Selkies loin sur l'île isolé des autres pays, cette îles qui porte son nom depuis, l'îles de Mann. Certains Druides et certaines personnes ordinaires mais qui avait une curiosité a toutes épreuves sont parvenu jusqu'en son lointain royaume, et tous en étaient revenus profondément changés. Mais nul ne put dire avec précision comment ils y étaient parvenus, ni comment ils en étaient revenus.
Un nuage de brume enveloppait les voyageurs qui approchaient cet île enchantée, et quand elle se dissipait, ils se trouvaient dans une grande plaine, sous un ciel sans nuage, le vent faisant des vagues dans les grandes herbes.
Alors une forêts de chênes puissant devait être franchie, cette forêt m'était les voyageurs a l'épreuve, car elle n'avais rien de magique, si se n'est les petites gens qui l'habitait des Sidhe pour la plupart qui par des charmes avaient enchantés les arbres de tels sorte qu'ils faisaient resortir ce qu'il y avait de pire chez le voyageur qui la franchissait. Même si la personne n'an avait pas conscience, même si ils s'étaient efforcer des années a cacher ou enfouir et enfouir encore. La magie de la forêt permettait de remettre les voyageur face a leur personnalité, et ils se détournaient alors de la route du royaume de Mananann qui était alors protéger de visiteurs indésirables.
Quand cette forêt était franchis il y avait une route qui menaient a la cité quand on s'en approchait on pouvait alors voir les habitants aller et venir selon leurs occupations, comme dans toutes les villes, mais les gens de cet endroit étaient vétus de façon étrange? Une puissante forteresse dominait la cité entourée de murs de granites et décoré de bronze et d'or. Derrière les murs de cette forteresse ce trouvais un jardin de pommiers en fleurs et en fruits, de plantes médicinale de toute sorte et là ce trouvait une maison d'argent couverte de plumes d'oiseaux blancs.
Plus loin un édifice royale montrait la présence du seigneur des lieux. Là encore un remparts de bronze et d'or entouraient quatre palais. Au centre de cet enclos ce trouvais un menhir gigantesque, gravé d'ogham est de symboles celtiques, ce dressait à côté d'une source profonde d'eaux pures et cristalline, ces eaux semblaient bouillonnées et elles se déversait dans cinq canaux de pierre parfaitement taillée. Ce dispositif alimentait cinq grandes rivières dans l'île de Man. Autour de cette source poussaient neuf Noisetiers, chargés de noisettes a toute saisons. Les noisettes pourpres tombaient de temps a autre dans les eaux de la source. A ce moment là cinq saumons qui résidaient dans cette source bondissaient hors de l'eau pour attraquer des noisettes, les briser et les manger. On pouvait voir des coquilles de noisettes qui flottaient a la surface de l'eau.
Le Seigneur Man consommait la viande de ces saumons avec ses invités, leur offrands aussi de l'hydromel et un boisson venant du chaudron de Dagda en personne.
Les voyageurs les plus assidus venaient voir cette source a l'époque ou les animaux sortent de leur tanières, ou les fleurs réaparaîssent et ou le lait des premières traites fait son retour.
Ils s'agenouillaient, méditaient un peu et buvaient de l'eau de cette source. Chaque visiteurs chacun son tour étaient ensuite convier a un festin avec Mananann ou ils mangeaient avec lui du saumon de la sagesse. Quand ils repartaient chez eux ensuite on voyait que l'éclat de leurs yeux avait changé, qu'ils brillaient de l'intérieur.
Quand les voyageurs restaient pour la veiller avec Mananann on les amenaient derrière une belle porte voûtéee et décorée de motifs celtiques là ils prenaient un bain chaud. Ceux qui étaient invités au festin racontèrent qu'il y avait toutes sortes de bonnes nourritures, mais les plus extraordinaire était ces deux cochons qu'on tuait chaque soir et que le porcher retrouvait bien vivants le lendemain matin. Pour en cuire les quartiers de viandes. Il fallait alors qu'autant de convives racontent une histoire vrais. Et les histoires qui étaient racontées là étaient plus merveilleuses les unes que les autres.
Mananann lui même expliquait parfois à ses hôtes les prodiges dont ils avaient été témoins. Il conseillait souvent de se souvenir de la source aux cinq rivières, car c'est la sagesse. Les rivières sont les cinq sens grâce auxquels la sagesse est obtenue. Mais personne n'aura de sagesse s'il ne boit à l'eau des rivières et à la source elle même. Les gens aux arts multiples sont ceux qui boivent aux deux.
A ces derniers mots, le Seigneur du lieu chantait et tous s'endormaient dans un profond sommeil. La brume entourait les visiteurs qui devaient retourner chez eux. A leur réveil, ils y étaient. Mais avait conservé en eux l'ancienne sagesse des druides distillé par Mananann en leur coeur.